COMMENT LA JUSTICE BRISE LES FAMILLES AU PROFIT DE BIG PHARMA ! | GÉOPOLITIQUE PROFONDE
Description
Le 21 décembre 2024, Vincent Pavan était l’invité de Mike Borowski sur Géopolitique Profonde.
Vincent Pavan, mathématicien et maître de conférences à l’université d’Aix-Marseille, est spécialisé en topologie et en théorie des graphes. Il est également connu pour ses prises de position critiques à l’égard des politiques sanitaires, en particulier lors de la crise du Covid-19, dénonçant certaines décisions scientifiquement infondées.
Une jeunesse sacrifiée et des familles déchirées
La crise du Covid-19 a laissé des séquelles profondes sur une génération déjà vulnérable. Isolement, culpabilisation et confrontation précoce à des problématiques adultes ont offert une opportunité inédite à des acteurs tels que Big Pharma. Ce dernier capitalise sur la détresse psychologique pour promouvoir ses solutions médicalisées. Par ailleurs, des institutions comme l’ASE (Aide sociale à l’enfance) et les MDPH (Maisons départementales des personnes handicapées) tirent profit de dossiers souvent obtenus facilement, alourdissant le fardeau des familles.
Dans des contextes familiaux fragilisés par des séparations, ces mécanismes accentuent les tensions. Les désaccords parentaux, notamment sur la santé mentale ou les traitements médicaux des enfants, sont exploités par ces institutions, exposant les familles à des décisions judiciaires radicales. Le parent refusant une médicalisation jugée excessive risque de perdre la garde, renforçant ainsi une logique qui favorise les recommandations médicales.
ASE, MDPH et influence médicale : une machine à broyer les familles
L’ASE justifie son intervention par la protection des enfants, mais ses motivations financières sont évidentes. Chaque enfant placé ou chaque dossier MDPH ouvert rapporte des revenus supplémentaires. Un diagnostic comme la dyslexie suffit à déclencher des aides, alors que les MDPH, débordées, voient leurs délais d’attente exploser.
Parallèlement, Big Pharma bénéficie des désaccords parentaux. Les décisions judiciaires favorisent souvent les prescriptions médicales, y compris des antidépresseurs pour des mineurs. Vincent Pavan en a fait les frais : opposé à l’administration d’antidépresseurs à sa fille, il a perdu sa garde au profit du parent soutenant le traitement, sous l’influence d’une psychiatre et de l’ASE.
Un système qui refuse de se remettre en question
Ce système allie pressions médicales, jugements biaisés et marchandisation de l’enfance. Les familles fragilisées par des conflits subissent des processus qui avantagent laboratoires et institutions, au détriment de l’intérêt supérieur de l’enfant.
Plutôt que d’admettre ses failles, le système français persiste dans une logique destructrice, sacrifiant la santé mentale et la stabilité des enfants. Ce refus d’évaluer l’efficacité des institutions – éducation, ASE ou justice – perpétue une dynamique qui broie des familles entières.
L’intérêt de l’enfant, pourtant primordial, est ignoré, plongeant les générations dans une souffrance durable. La question reste : combien de générations faudra-t-il sacrifier avant une réforme profonde et nécessaire ?